Madagascar , mon rêve

Bonjour ,
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pour préparer vos prochaines vacances dans la grande île !
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Dilann Mamodaly
Dilann Tours Madagascar
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samedi 2 mai 2009

Une opportunité pour l’écotourisme



Une opportunité pour l’écotourisme

jeudi 14 août 2008, par Herimanda R.

Angonoka (Astrochelys), Kapidolo (Pyxis planicanda), Sokake (Astrochelys radiata), Sokapila (Pyxis arachnoides). On ne le dira jamais assez. Ces variétés de tortue sont désormais les plus menacées, au stade le plus critique, de l’avis de plus d’uns chercheurs qui ont eu à étudier la disparition progressive, donc alarmante, des tortues endémiques de Madagascar. Les tortues de Madagascar alimentent les commentaires et réflexions en tous genres.

Synergies

Les organismes environnementaux ont pris sur eux de lancer, en début d’année, à Antananarivo, un vibrant rappel à l’ordre, à travers la tenue d’un Colloque International mais en vue, selon toute vraisemblance, de dénoncer un trafic qui écume depuis nombre d’années les contrées reculées du Sud. En droite ligne, la promotion de l’écotourisme s’entend d’ores et déjà être un palliatif pour lutter contre le fléau, le but étant d’arriver à une synergie des actions à la base.

Le Village de Tortues de Mangily entend donner cet exemple. Le projet a été monté voici près 6 années sous l’impulsion de deux associations, à savoir, la SOPTOM (France) et l’ASE (Madagascar). Ce parc naturel de 25 ha s’emploie à la mise en quarantaine des tortues remises selon diverses provenances. Elles seront remises par la suite en liberté dans le site d’origine après un processus de réhabilitation. Le Village de Tortues de Mangily compte de nos jours 1200 têtes qui suivent des soins appropriés. Des éco-volontaires, scientifiques, ou observateurs de tout bord, touristes ou voire les élèves des EPP, viennent au Village de Mangily qui est devenu un centre d’interprétation ...de tortues.

Billet vert

Des programmes de repeuplement sont élaborés. Ainsi, 40 tortues sont fin prêtes pour un relâchement (remise à la nature), selon Kala Jean, responsable animalier. Celui-ci n’écarte pas la perspective de l’utilisation d’une radio télémétrie (pour suivre de près le déplacement, le cas échéant) car, par le passé, I’ expérience s’est soldé par une pure perte. Les tortues ont toutes disparues. Les analystes imputent le fait au choix du site, le Bezaha Mahafaly, réputé pour sa consommation, mais surtout pour sa forêt galerie, propice vraisemblablement à l’inondation.

Le Dr Daniel Ramampiherika, administrateur du parc de Mangily, parle aujourd’hui d’une situation de relance. Le chercheur fait état d’un projet avec l’ANGAP. Trois associations se sont déjà manifestées pour intégrer le mouvement, à travers le projet PK 32 Ranobe. En tout cas, Ramampehirika est confiant surtout pour l’enjeu écotouristique naissant. La situation évolue au point de mobiliser tout le monde, même les villageois. Par exemple, Mangily commence à faire, avec l’afflux de nombreux visiteurs et touristes, autant d’opportunités, semble-t-il pour la circulation des biens et des personnes, dans le jargon touristique du billet vert

SOURCE : http://www.madagascar-tribune.com


Ecotourisme sur le canal des Pangalanes .


samedi 25 avril 2009

CROISIERES A NOSY BE

Bonjour ,
Je vous invite à faire une croisière en vidéo photos dans la mer de Nosy Be et ses environs!
Bon vent! Et à bientôt à Madagascar pour vos vacances!
Amicalement
Dilann
DILANN TOURS MADAGASCAR




mercredi 8 avril 2009

ला रौते नाशनाले 07

LA ROUTE NATIONALE 7

La route nationale 7 est un best off des circuits de la grande île .Antananarivo à Tuléar, la RN7 nous conduit de l’Imerina à la quatrième plus grande barrière de corail du monde dans le canal de Mozambique. Elle traverse l’écosystème diversifié de Madagascar en nous faisant admirer des paysages parmi les plus beaux et les plus variés de la grande île. Elle nous fait découvrir des villes dotées d’un patrimoine architectural prestigieux et des villages. Elle nous fait connaitre une population laborieuse।Découvrez la en photos,prises par nos touristes venant du monde entier!


mardi 3 février 2009

Ambodivahibe classée aire protégée



Antsiranana
Ambodivahibe classée aire protégée
La protection de la flore et de la faune figure parmi les défis du MAP. La sauvegarde des sites naturels se fait avec la collaboration de la population.
Malgré des obstacles internes et externes, Ambodivahibe, à Antsiranana, est classée aire protégée à titre provisoire, ce deux mois après le dépôt d’une demande dans ce sens. Cela a été officialisé par l’intermédiaire de l’arrêté n°18633 du 17 octobre 2008 pris par le ministère de l’Environnement, des forêts et du tourisme.
« La décision entre dans le cadre de l’augmentation de la superficie des aires protégées, et conformément au Madagascar action plan», précisent des responsables au sein du Schéma d’aménagement et de gestion des eaux (SAGE) et de Conservation international. De fait, les deux entités collaborent dans l’exécution du projet.
Plusieurs étapes ont été franchies avant cette classification. Entre autres, les responsables ont dû convaincre et sensibiliser la population environnante de la nécessité de la protection d’Ambodivahibe. D’autant que certains opérateurs ont à cœur de profiter les richesses que recèlent les parties terrestre et marine d’Ambodivahibe, celle-ci étant incluse dans la deuxième plus belle baie du monde.
Il est clair que ces personnes font la pluie et le beau temps dans l’exploitation de cette aire, jusqu’ici. Elles ont peur de perdre ce privilège. Alors, elles essaient d’induire en erreur la population locale. Pourtant, cette dernière a tout intérêt à ce qu’Ambodivahibe soit protégée, ne serait-ce qu’afin de conserver les richesses naturelles qui s’y trouvent.
« Il ne s’agit pas de déloger les gens de cette aire protégée. Au contraire, ils prendront en main sa gestion », affirme un responsable du SAGE.
Espèces uniques
A noter que certaines espèces uniques de la faune et de la flore d’Ambodivahibe commencent à se raréfier, dont le mérou géant.
De même, la forêt d’Ampiho est sous la menace du charbonnage de bois et de la culture sur brûlis. L’espace renferme aussi des richesses culturelles de la population locale.
En tout cas, il reste beaucoup à faire avant la classification définitive d’Ambodivahibe en aire protégée. Il faudra en particulier mettre en place un plan de communication susceptible d’éveiller la responsabilité de tous ceux qui sont concernés par la sauvegarde d’Ambodivahibe.
Raheriniaina
Date : 03-02-2009
http://www.lexpressmada.com/