Madagascar , mon rêve

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Dilann Mamodaly
Dilann Tours Madagascar
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samedi 9 avril 2011

Maurice Des mesures pour éradiquer les vols

Après les vols en série dans les hôtels, le ministère du Tourisme s’active. Des mesures sont envisagées pour contrecarrer ce problème qui ternit l’image touristique de Maurice.
L’attente a été longue mais pas vaine. La montée en flèche des cas de vols et d’agressions sur les touristes rapportés à la police n’a pas laissé insensible le ministre du Tourisme, Nando Bodha. En janvier dernier, après le meurtre de Michaela Harte au Legends, il avait fait ressortir que « Maurice demeure une destination exclusive et sûre ».
Cependant, les États généraux qu’il avait annoncés, pour survoler l’ensemble de l’industrie touristique avec les acteurs du secteur, ont finalement démarré.
Karl Mootoosamy, le directeur de la Mauritius Tourism Promotion Authority, indique que des discussions ont eu lieu entre les autorités touristiques et les hôteliers, membres de l’Association des hôteliers et restaurateurs de l’île Maurice, entre autres partenaires. Le but : dresser le plan d’action afin de contrecarrer les vols et agressions en série sur les touristes dans les hôtels ou sur les plages et autres lieux publics.
La Sentinelle
Jeudi 07 avril 2011
http://www.lexpressmada.com/maurice-madagascar/22423-des-mesures-pour-eradiquer-les-vols.html

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Film court « La chasse au lambo » favori

Le film intitulé « La chasse au lambo »pourrait bien décrocher le Zébu d'Or du Festival du film court. Il a eu la préférence du jury en présélection. 
Parmi les films d'animation à présenter au festival du film court, un seul remportera le Zébu d'Or. Le jury et le public auront à choisir entre « Bocal » de Mamy Telina Randriamahaly, « La mouche et le petit vieux » de Liva Razaka, « Masikarena » de Linda Volahasina, « La ville de Farwest » de Ranto Ramilojaona, « La chasse au lambo » de Sitraka Randriamahaly. Les projections se feront en alternance avec des films de fiction et des documentaires, le 13 avril à l'Institut Français de Madagascar.
Selon l'avis de quelques membres du jury, lors de la présélection, le choix penche plutôt vers le film « La chasse au Lambo ». Trois membres sur cinq l'ont adopté.
« Ce film présente un scénario original et un beau graphisme » avance l'un. « Il a un caractère design, et le réalisateur a pris du temps pour faire le film. Le scénario présente aussi une structure et un message » confirme l'autre. Pour le réalisateur, ce film a pris 17 mois, du scénario au montage final. « Ce délai était nécessaire, car nous avions des contraintes. Nous hésité sur la fin du film », lance Sitraka Randriamahaly.
Mais la décision finale appartient au public et au jury de la compétition, les autres films pouvant réserver des surprises. « Bocal », une œuvre comique, raconte l'histoire d'un homme affamé. Hélas, il ne reste plus qu'un bocal de « Koba », et ce bocal refuse de s'ouvrir. «Ville de Farwest » met en scène deux cowboys un peu farfelus s'affrontant en duel, dans un village typique de l'Imerina, avec des lance-pierres en guise de pistolets. « Masikarena » retrace l'histoire d'un lieu, d'un espace, d'un moment où des liens se sont noués, définissant Madagascar comme dénommé Masikarena pendant un certain temps. Dans « La mouche et le petit vieux », un petit vieux devra, malgré lui, faire face à la complexité des nouvelles technologies. Une mouche va malheureusement lui rappeler que ces dernières ne nous rendent pas moins bêtes.
Vonihanitra Raholimalala
Vendredi 08 avril 2011



Sitraka Randriamahaly, réalisateur de « Hazalambo » ou « La chasse au lambo »

Portrait Du goût et du talent avec Chef Elise Andriatsalama

35 ans au service de l'hôtel Carlton, elle fait partie des plus grands chefs de cuisine de Madagascar. Elle a ravi les palais fins gourmets d'horizons internationaux divers avec les plats qu'elle concocte. L'amour pour le métier complète le talent.

Vêtue d'une blouse blanche et portant la toque, Chef Elise ressemble, à première vue, à ces chefs cuisiniers stricts, à l'air bourru, que les films à la télévision véhiculent souvent.
Et pourtant, c'est un femme décontractée, sympathique, qui adore rire. Sa mine réjouie ne trahit d'ailleurs pas son âge, 54 printemps.
A un an de la retraite, Chef Elise a passé la plus grande partie de sa vie parmi les casseroles des cuisines de l'hôtel Hilton, devenu hôtel Carlton.
« J'ai commencé mon apprentissage, ici en 1976. Ensuite, j'ai suivi des stages de formation dans les cuisines de la chaîne Hilton, à Paris et en Suisse en particulier », évoque la dame cordon-bleu.
« Comme le chef changeait tous les deux ans avant 2000, j'ai pu apprendre les différentes cuisines du monde. Et jusqu'à présent, je continue dans cette voie, étant donné la diversité des gens fréquentant l'hôtel Carlton », ajoute-t-elle.
Mais avant d'intégrer l'hôtel de cette chaîne internationale, Chef Elise a suivi des cours de cuisine à l'école.
« J'ai fréquenté un collège professionnel. Je me suis d'abord orientée vers l'habillement, mais ça ne m'a pas beaucoup plu. C'est pourquoi je me suis convertie à l'art culinaire », poursuit-elle en riant.
Chef Elise considère son lieu de travail comme son second foyer. « En fait, je n'ai jamais songé exercer sous une autre enseigne », précise la cuisinière chevronnée.
C'est en grande partie grâce à sa fidélité, et bien sûr à ses compétences, qu'elle est devenue le chef exécutif de l'hôtel Carlton depuis 2000.
Son secret ? « L'amour du travail est essentiel dans l'art culinaire. Si on n'est pas passionnée, il vaut mieux choisir un autre métier », conseille-t-elle.
La fonction de chef cuisinier exige, effet, une très grande disponibilité. Pratiquement, elle est aux fourneaux de 9 h à 16 h. Toutefois, cela ne l'empêche pas d'avoir une vie privée et familiale.
« A chacun de bien planifier sa journée. Mais il ne faut jamais mélanger vie personnelle et vie professionnelle », prévient-elle.
Ainsi si, à l'hôtel Carlton elle est le grand chef cuisinier Elise, à la maison elle occupe le rôle de maman de trois enfants.
De l'endurance
Son travail nécessite également de l'endurance physique et morale. « Pour être chef, il faut être dur comme les hommes », précise-t-elle. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle les grands hôtels optent plutôt pour des stagiaires masculins que féminins.
Néanmoins, Chef Elise constate que le nombre de filles qui veulent embrasser les métiers de la cuisine est de plus en plus important.
« C'est peut-être dû à la multiplication des instituts spécialisés ». Mais quantité ne signifie pas souvent qualité.
« Les jeunes diplômés ont parfois tendance à imaginer qu'après deux années d'études, ils peuvent devenir des grands chefs. Cette idée, erronée, est peut-être liée à ce qu'on leur a appris dans leurs instituts », suppute Chef Elise.
D'après ses explications, les années passées dans une école d'art culinaire constitue juste un plus, le véritable apprentissage se passe dans la cuisine, autrement dit, rien ne vaut la pratique.
Elle précise cependant que les sortants de certains instituts sont tout de même très efficaces et habiles. Elle ne se fait donc pas trop de soucis quant à la relève, du moment que cela ne touche pas ses enfants.
En effet, contrairement aux autres parents qui rêvent que leurs enfants fassent le même métier qu'eux, Chef Elise ne voudrait pas que les siens s'investissent dans la cuisine.
« Etre chef cuisinier demande beaucoup de sacrifices. Et je ne veux pas que mes enfants en fassent de même », avoue-t-elle.
Maintenant qu'elle va bientôt partir à la retraite, Chef Elise aura tout le temps libre de veiller à ce que ce ne soit pas le cas.
« Mais si leur désir est vraiment de devenir chef, je ne pourrai que les soutenir », conclut-elle. Protectrice et compréhensive, telles sont les autres facettes du caractère de Chef Elise du Carlton.
Judicaëlle Saraléa
Vendredi 08 avril 2011



Chef Elise Andriatsalama est aux fourneaux de l’hôtel Carlton depuis 35 ans

Manigny::Lianah