Madagascar , mon rêve

Bonjour ,
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Dilann Mamodaly
Dilann Tours Madagascar
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lundi 20 octobre 2014

Faut Pas Rever Madagascar-Documentaire Entier

samedi 13 septembre 2014

L'EQUIPE DE DILANN TOURS MADAGASCAR - DILANN TOURS MADAGASCAR

L'EQUIPE DE DILANN TOURS MADAGASCAR - DILANN TOURS MADAGASCAR

L'équipe de Dilann Tours vous invite à découvrir : Madagascar ,  la grande île de biodiversité .

Alors à bientôt !

Dilann et son équipe !

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mardi 10 juin 2014

Le festival Donia s’ouvre dans la liesse populaire - DILANN TOURS MADAGASCAR



C’est parti. La 21è édition du festival Donia de Nosy Be, qui se tient du 4 au 8 juin, a été inaugurée jeudi après-midi à Hell-ville dans une ambiance toute particulière.Comme tous les ans, il a débuté par un carnaval très coloré et très vivant, avec des costumes chatoyants et des masques bariolés. Le cortège a démarré à 14h au Château d’eau, a traversé la ville pour rejoindre le stade où a eu lieu la cérémonie d’ouverture officielle. Tout cela dans un concert de percussions, de chants et de danses chorégraphiques, avec des danseurs délurés aux visages peinturlurés et aux corps dénudés, en vue du concours du meilleur groupe carnavalier.Certains groupes ont marché à pied tandis que d’autres sont montés sur des chars fleuris. Damienne, Miss Donia 2014, et ses dauphines ont ouvert le cortège des carnavaliers. Les derniers des participants ne sont arrivés au stade d’Ambodivoanio que vers 16h 30.
Le succès toujours prouvé de ce carnaval monstre a encore démontré que le Donia est un messager de la joie, de l’espoir et du partage qui se reflète à travers la musique et la danse. Cette manifestation de séduction et pleine de fluidité permet à tout le monde d’intégrer la chaîne chorégraphique.
Par la conjugaison de trois manifestations en une seule journée (carnaval, série de discours, bal d’ouverture), la partie officielle, tenue au stade, a suivi le carnaval. La longue cérémonie mélangée avec une série de discours a vu la présence de ministres, de députés, et de personnalités politico-administratives.
Un record battu au micro, par rapport aux précédentes éditions. Outre les félicitations à l’endroit du Comité d’organisation Cofestin pour sa persévérance et sa volonté d’offrir un événement de qualité, les dix intervenants ont tous mis un accent particulier sur l’importance du festival Donia. De fait, c’est aussi un carrefour d’échanges culturels qui a permis à un grand nombre d’artistes malgaches et étrangers, durant ces vingt dernières années, de faire  l’apprentissage de l’autre, et d’établir des relations d’amitié. Même si des personnes ont voulu souhaiter sa mort, Donia a survécu et repris vie. Et cette année, le poids de l’âge et des problèmes financiers ont failli le faire trébucher« Chaque année, Donia est passé malgré les embûches, les jalousies, les tentatives de blocage, et les crises. Pour cette 21è édition, le Cofestin est fier d’accueillir, une fois encore, l’océan Indien à Nosy Be pour un échange de nos cultures, dans le partage, la joie et la fête », a affirmé Mariette Rasoaseheno, présidente du Cofestin, lors de son intervention.

Phare culturel
Ainsi, la présence des délégations issues de Mayotte, du Gabon, des Comores, de La Réunion  et plus particulièrement de l’île Rodrigues, conforte le festival Donia dans les valeurs qu’il défend et véhicule.
« C’est l’addition des singularités et des diversités qui unissent les hommes. Elle conduit vers un chemin de modernité et d’enrichissement de notre culture, provoquant un réflexe de paix intérieur, une envie de voir et d’entendre l’autre », a expliqué le colonel Maevalaza, chef de la région Diana.Quant à Vaonalaroy Randrianarisoa, ministre de l’Artisanat, de la culture et des patrimoines, elle a mis en exergue la valeur du patrimoine culturel qu’il faut préserver à tout prix.
« À travers le festival Donia, nous pouvons affirmer sans nul doute que Nosy Be est déjà et sera encore un phare culturel régional, une plaque tournante du monde indianocéanique où règne le respect de la vie dans la joie, et la recherche du vouloir vivre ensemble par la tolérance et l’harmonie dans la diversité », a-t-elle spécifié.Désigné pour clore cette série de discours, sous les cris d’un public impatient, et pour ouvrir officiellement la 21è édition du festival Donia, le ministre du Tourisme, Benjamina Ramarcel Ramanantsoa, a axé son allocution sur le tourisme culturel. Pour lui, la culture représente une grande importance pour le pays, tant sur le plan économique que sur le plan social. Dans la foulée, il a avancé la mise en place prochaine de la police du tourisme qui sera dotée de matériel et d’équipements nécessaires pour lui permettre d’accomplir sa mission.
« La tenue de ce festival arrive à point nommé, au moment où Madagascar est en train de rejoindre sa place au niveau mondial. Les touristes viennent chez nous pour découvrir nos  cultures, les peuples et nos richesses. Alors, il faut les sécuriser car le tourisme est la première source de revenus de Nosy Be », a-t-il mis en exergue.C’est à 18h 25 que le ministre Benjamina Ramarcel Ramanantsoa a déclaré ouvert le festival Donia 2014. Un cocktail et un grand bal d’ouverture se sont tenus au fameux restaurant La Banane Djamandzar pour clore cett journée du jeudi.

Raheriniaina



Le rendez-vous annuel culturel de l’Île aux parfums a été ouvert par le traditionnel carnaval. En marge, l’instauration d’une police du tourisme a été annoncée.
Le rendez-vous annuel culturel de l’Île aux parfums a été ouvert par le traditionnel carnaval. En marge, l’instauration d’une police du tourisme a été annoncée.

Mer et plage dAnakao... (Photo de nos clients Mr et Mme ALAIN LABARRERE) - DILANN TOURS MADAGASCAR




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Vingt mille lieues avec le malgache - DILANN TOURS MADAGASCAR



L’intervention d’Henri Rahaingoson, hier au Tranompokonolona Analakely, a permis de connaître des aspects insoupçonnés du malgache. Une langue bien vivante.

Le tracé historique de la langue malgache a été détaillé par Henri Rahaingoson, hier après midi au Tranompokonolona Anala­kely. Une intervention passionnée et passionnante d’un académicien, grand défenseur de sa langue. À l’entendre, le malgache serait une sorte d’hybride séculaire.
« On peut déjà trouver les traces de la langue malgache au onzième et au douzième siècle », fait-il savoir. L’homme de lettres parle comme un historien, parfois comme un conteur épique. Tant la magie de l’épopée de cette langue s’étale sur mille lieues, loin des frontières de notre pays. Alors, l’auditoire se met à imaginer mer, boutres, marchands et civilisation.
Henri Rahaingoson a aussi soulevé de nouvelles hypothèses. « Le sorabe ne serait pas venu des arabes. Des chercheurs ont trouvé récemment des écrits ayant des similitudes avec le sorabe », émet l’écrivain et poète également. Ces traces se situent en Asie de l’Est, sur l’archipel de Sumatra, et dans la province d’Aceh précisément. L’histoire contemporaine rappelle qu’en 2004, un tsunami a frappé cette partie de l’Indonésie. Si durant son intervention, il n’a pas émis ce constat, l’on peut supposer que l’un des composants du malgache était une langue tournée vers le large. L’autre composant vient de l’Afrique, une autre belle et longue histoire aussi.
Séculaire et dynamique
L’autre période qui a marqué la langue malgache se trouve au XIXème siècle. Le moment où Radama a décidé, avec le renfort de conseillers comme Andriamahazonoro, les missionnaires du London Missionary Society, et quelques français, pour adapter l’alphabet latin au malgache. Le malgache se pare dès lors de « modernité ». Introduire l’alphabet latin lance les projets de traduction, un autre virage de cette langue.
La Bible fait partie de ces premiers écrits que des missionnaires et douze Malgaches ont repris en malgache. Une date mémorable, un autre monde s’ouvre aux lettrés, celui des autres civilisations et des autres pays. Cette intervention se tient dans le cadre de la célébration du mois de la langue malgache, comme il se fait chaque année.
D’autres activités vont venir dans les prochaines semaines. Le samedi 14 juin à 10 h, la bibliothèque Nationale à Anosy va abriter une rencontre sur « Ny teny malagasy sy ny tontolon’ny rakibolana » avec Jean Claude Randria­mahazo, enseignant à l’école nationale supérieure ou ENS. Le 27 juin, à l’Académie malgache de Tsimbazaza ce sera plus festif, avec slam, poésie, théâtre, conte, roman, … à travers des représentations scéniques. Ce qui va clôturer comme il se doit ce mois de la langue malgache.

Maminirina Rado
Photo : http://www.lexpressmada.com/blog/actualites/vingt-mille-lieues-avec-le-malgache-11881 http://www.dilanntours-madagascar.com/ Vingt mille lieues avec le malgache L’intervention d’Henri Rahaingoson, hier au Tranompokonolona Analakely, a permis de connaître des aspects insoupçonnés du malgache. Une langue bien vivante. Le tracé historique de la langue malgache a été détaillé par Henri Rahaingoson, hier après midi au Tranompokonolona Anala­kely. Une intervention passionnée et passionnante d’un académicien, grand défenseur de sa langue. À l’entendre, le malgache serait une sorte d’hybride séculaire. « On peut déjà trouver les traces de la langue malgache au onzième et au douzième siècle », fait-il savoir. L’homme de lettres parle comme un historien, parfois comme un conteur épique. Tant la magie de l’épopée de cette langue s’étale sur mille lieues, loin des frontières de notre pays. Alors, l’auditoire se met à imaginer mer, boutres, marchands et civilisation. Henri Rahaingoson a aussi soulevé de nouvelles hypothèses. « Le sorabe ne serait pas venu des arabes. Des chercheurs ont trouvé récemment des écrits ayant des similitudes avec le sorabe », émet l’écrivain et poète également. Ces traces se situent en Asie de l’Est, sur l’archipel de Sumatra, et dans la province d’Aceh précisément. L’histoire contemporaine rappelle qu’en 2004, un tsunami a frappé cette partie de l’Indonésie. Si durant son intervention, il n’a pas émis ce constat, l’on peut supposer que l’un des composants du malgache était une langue tournée vers le large. L’autre composant vient de l’Afrique, une autre belle et longue histoire aussi. Séculaire et dynamique L’autre période qui a marqué la langue malgache se trouve au XIXème siècle. Le moment où Radama a décidé, avec le renfort de conseillers comme Andriamahazonoro, les missionnaires du London Missionary Society, et quelques français, pour adapter l’alphabet latin au malgache. Le malgache se pare dès lors de « modernité ». Introduire l’alphabet latin lance les projets de traduction, un autre virage de cette langue. La Bible fait partie de ces premiers écrits que des missionnaires et douze Malgaches ont repris en malgache. Une date mémorable, un autre monde s’ouvre aux lettrés, celui des autres civilisations et des autres pays. Cette intervention se tient dans le cadre de la célébration du mois de la langue malgache, comme il se fait chaque année. D’autres activités vont venir dans les prochaines semaines. Le samedi 14 juin à 10 h, la bibliothèque Nationale à Anosy va abriter une rencontre sur « Ny teny malagasy sy ny tontolon’ny rakibolana » avec Jean Claude Randria­mahazo, enseignant à l’école nationale supérieure ou ENS. Le 27 juin, à l’Académie malgache de Tsimbazaza ce sera plus festif, avec slam, poésie, théâtre, conte, roman, … à travers des représentations scéniques. Ce qui va clôturer comme il se doit ce mois de la langue malgache. Maminirina Rado

Antananarivo, place du marché artisanal (Photo de nos clients Mr et Mme GODIN) - DILANN TOURS MADAGASCAR


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le festival «Angaredona» - DILANN TOURS MADAGASCAR

Depuisquelqueséditions,lefestival«Angaredona»aconnuunessoufflementauniveaudesamissionpremière.Desjeunesdel’universitéd’Antananarivoontprislesrêneshier.

«Angaredona » a à peine plus de dix ans d’âge, voilà qu’une équipe de jeunes reprend le flambeau. L’association des médiateurs culturels ou Admc se trouve depuis hier au gouvernail de ce festival des musiques vivantes. Rajery, fondateur et actuel co-dirigeant du festival des musiques vivantes, porte des mots de conviction.
« C’est un choix. Nous travaillons ensemble depuis plus de trois ans, c’est le meilleur choix. Ce ne sont pas seulement des exécutants ». Il ne reste qu’à espérer qu’il joigne la parole à l’acte. Avec lui, c’est le tout neuf Arnaud Ratafika qui co-dirige Angaredona. La passation s’est déroulée hier matin dans les enceintes de la faculté des Lettres et Sciences Humaines de l’université d’Antananarivo. Sous le regard, entre autres, du président de l’Université Panja Armand Ramanoelina. Présent aux côtés de Prosper Ralaiarimanana, membre fondateur de Solika, Jaojoby Eusèbe, le pacha du salegy et d’autres personnalités. À travers ses propos se lit une fierté non feinte chez Panja Armand Ramanoelina.
« Nous allons voir comment apporter notre contribution pour la prochaine édition », assure t-il. Le bateau
« Angaredona » semble avoir pris le bon vent avec la venue de l’Admc, jeunes diplômés issus du parcours en Médiation et Management Culturel du département d’étude française et francophone de la Faculté des Lettres et Sciences humaines.
Confiance affichée
Membre du conseil d’administration d’Angaredona et responsable du parcours médiation et management culturels, Serge Henri Rodin, est aux anges. « L’université fait tous les efforts pour offrir à la société des diplômés efficaces, et appuyer par la recherche le développement de la nation. La cérémonie d’aujourd’hui est hautement symbolique, car le parcours est présent sur ces deux axes ».
Un exemple concret de ce qui peut se faire ailleurs, et qui a pu se faire à Madagascar. La confiance entre le secteur culturel, parfois perdu dans un manque de professionnalisme, et des universitaires prêts pour les défis. Pour en revenir au festival, c’est aussi l’occasion pour lui de se débarrasser de quelques ombres à son tableau. Les dernières éditions ont vu l’esprit du festival se déglinguer. « Éblouir » les partenaires, le public…, dans le sens noble du terme, c’est le maître mot d’Arnaud Ratafika, le co-directeur d’Angaredona. Tsiaro Andriamahery, président de l’association des médiateurs culturels tente de revenir sur terre. « Il est encore très difficile de vivre de culture ici, c’est une réalité. Il n’y a rien de clair, presque rien n’est mis en place. Ce sera difficile d’être toujours présent et de réaliser les projets. Mais on va le faire ».
Maminirina Rado
Photo : http://www.lexpressmada.com/blog/actualites/festival-angaredona-retente-le-coup-12043 http://www.dilanntours-madagascar.com/ Depuisquelqueséditions,lefestival«Angaredona»aconnuunessoufflementauniveaudesamissionpremière.Desjeunesdel’universitéd’Antananarivoontprislesrêneshier. «Angaredona » a à peine plus de dix ans d’âge, voilà qu’une équipe de jeunes reprend le flambeau. L’association des médiateurs culturels ou Admc se trouve depuis hier au gouvernail de ce festival des musiques vivantes. Rajery, fondateur et actuel co-dirigeant du festival des musiques vivantes, porte des mots de conviction. « C’est un choix. Nous travaillons ensemble depuis plus de trois ans, c’est le meilleur choix. Ce ne sont pas seulement des exécutants ». Il ne reste qu’à espérer qu’il joigne la parole à l’acte. Avec lui, c’est le tout neuf Arnaud Ratafika qui co-dirige Angaredona. La passation s’est déroulée hier matin dans les enceintes de la faculté des Lettres et Sciences Humaines de l’université d’Antananarivo. Sous le regard, entre autres, du président de l’Université Panja Armand Ramanoelina. Présent aux côtés de Prosper Ralaiarimanana, membre fondateur de Solika, Jaojoby Eusèbe, le pacha du salegy et d’autres personnalités. À travers ses propos se lit une fierté non feinte chez Panja Armand Ramanoelina. « Nous allons voir comment apporter notre contribution pour la prochaine édition », assure t-il. Le bateau « Angaredona » semble avoir pris le bon vent avec la venue de l’Admc, jeunes diplômés issus du parcours en Médiation et Management Culturel du département d’étude française et francophone de la Faculté des Lettres et Sciences humaines. Confiance affichée Membre du conseil d’administration d’Angaredona et responsable du parcours médiation et management culturels, Serge Henri Rodin, est aux anges. « L’université fait tous les efforts pour offrir à la société des diplômés efficaces, et appuyer par la recherche le développement de la nation. La cérémonie d’aujourd’hui est hautement symbolique, car le parcours est présent sur ces deux axes ». Un exemple concret de ce qui peut se faire ailleurs, et qui a pu se faire à Madagascar. La confiance entre le secteur culturel, parfois perdu dans un manque de professionnalisme, et des universitaires prêts pour les défis. Pour en revenir au festival, c’est aussi l’occasion pour lui de se débarrasser de quelques ombres à son tableau. Les dernières éditions ont vu l’esprit du festival se déglinguer. « Éblouir » les partenaires, le public…, dans le sens noble du terme, c’est le maître mot d’Arnaud Ratafika, le co-directeur d’Angaredona. Tsiaro Andriamahery, président de l’association des médiateurs culturels tente de revenir sur terre. « Il est encore très difficile de vivre de culture ici, c’est une réalité. Il n’y a rien de clair, presque rien n’est mis en place. Ce sera difficile d’être toujours présent et de réaliser les projets. Mais on va le faire ». Maminirina Rado

Belle image... (Photo de nos clients Mr et Mme LABARRERE) - DILANN TOURS MADAGASCAR


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Ressources halieutiques – Des pêcheurs de concombre de mer pris sur le fait - DILANN TOURS MADAGASCAR

01 DAY IN CANOE


Rianila the river with a length of 134km located east of Madagascar and through Brickaville joined the channel pangalanes to Andevoranto to empty into the sea
Over navigation, bush boats and scenes of daily life of local residents.
Immersion country Betsimisaraka "The Many inseparable" is complete when stopping visit to the village of Satakoly. The village with its boxes "falafa" on stilts lined up along the road longela Rianila. Lavisite factory local mead called "betsa betsa" village we give an overview of the manufacturing method of this beverage very popular in the eastern region of Madagascar.
Continue by river to the village of Morafeno. This village has an old colonial concession "Sea" or Lamera which today houses a rizierie and a nursery of fruit trees.
After the visit departure to join Andevoranto, place Oula Rianilacroise Canal Panganales before emptying into the Indian Ocean. This town has held an important place in the past. Trading post and port of embarkation of slave trade in the reign of Radama 1èr (1810-1828). Residence of the military governor who had administrative and military control of the area of the time of the colonial administration. Picnic lunch.

Channel Panganales was fitted to the early twentieth century and is undoubtedly one of the most fascinating human constructions of the time. It is bordered by a thick lush vegetation elephant ear tree, traveler, pandanus, Allamanda, raffia, bamboo ...
Crossing the river avenue Ambila Lemaitso followed by a stop visiting distillery Melaleuca.
Arrival at Lake Rasoabe in the late afternoon to watch the sunset over Manambato good weather.
Crossing the lake and landing Manambato.

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Panoramic view of the capital, Antananarivo (Photo of our customers Mr and Mrs GODIN) - DILANN TOURS MADAGASCAR




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Ressources halieutiques – Des pêcheurs de concombre de mer pris sur le fait - DILANN TOURS MADAGASCAR

Vingt quatre bouteilles de plongée, une embarcation plus un moteur de40 CV, six palmes, quatre mas­ques, un bac de trempage. Telles sont entre autres les composantes de matériel saisi auprès de pêcheurs de concombre de mer à Amba­liha, dans la région Diana. C’était dans le cadre d’une mission inopinée menée par le Centre de surveillance de pêche lundi. Ces équipements font preuve d’une réalisation de pêche de ces ressources, prohibée par la loi en vigueur. « La collecte de concombre de mer est autorisée à Madagascar. Par contre, l’ordonnance de 1993 stipule l’interdiction d’utilisation de tout dispositif permettant une immersion plus longue que celle autorisée par la seule respiration naturelle. Ces équipements démontrent que cette loi n’a pas été respec­tée, d’où cette saisie », a expliqué Hari­man­dimby Raso­lonjatovo, Directeur exécutif du Centre de surveillance de pêche. « Cette dernière répond aussi à la volonté annoncée par le ministre Ahmad de restaurer l’État de droit. Ainsi, ce matériel ne sera pas rendu aux usagers, qui souvent sont payés par des opérateurs pour pêcher ces concombres de mer », a poursuivi ce responsable, hier au cours d’un entretien avec la presse à Ampandria­nomby. Des procédures de transaction seront par ailleurs engagées. Même si la loi ne le prévoit pas, tout comme les arrestations, le permis de collecte des pêcheurs pourrait ne pas être renouvelé. C’est une mesure administrative qui peut être prise dans un tel cas.

Petite amende
Cette opération faite suite à de nombreuses autres. Les données du CSP font état d’une saisie de cinquante bouteilles de plongée depuis octobre 2009 à ce jour. Le faible montant des amendes favorise la prolifération de cette pêche et l’utilisation de ce matériel. « Lorsqu’il s’agit de pêche artisanale, c’est-à-dire que les pêcheurs utilisent un navire de moins de 50 CV pour leurs activités, les amendes sont fixées entreAr 100 000 et Ar 1million. Ce qui est très faible par rapport à ce qu’ils pourraient gagner, et surtout par rapport au matériel qu’ils utilisent », note toujours le directeur exécutif. Le ministère de la Pêche et des Res­sources halieutiques est actuellement à pied d’œuvre pour la réforme de cette loi.L’usage de bouteille de plon­gée traduit pourtant une réduction importante de la production de concombre de mer. Dans les années 90, ces produits ont été ramassés par les femmes et les enfants au bord de la mer.  Maintenant, les pêcheurs doivent aller en profondeur pour en trouver. Les parties sud et nord ouest du pays regroupent la plupart des exploitations de con­com­bre de mer. La totalité de la production est exportée. Les pays asiatiques en sont les principaux destinataires.

Lantoniaina Razafindramiadana

Un navire du Centre de surveillance de pêche a mis la main sur des pêcheurs illicites de concombre de mer à Ambaliha, sur l’île Faly, dans la région Diana.
Un navire du Centre de surveillance de pêche a mis la main sur des pêcheurs illicites de concombre de mer à Ambaliha, sur l’île Faly, dans la région Diana.

samedi 5 avril 2014

Club équestre – Amajo, le paradis de l’équitation à Tana


Du côté d’Ilafy, loin de la pollution et de la pression du centre-ville, le centre équestre Amajo est un véritable havre de paix. Quatre hectares d’écuries et de sites uniquement destinés au cheval.
Le centre équestre Amajo, est un lieu incontournable pour les passionnés d’équitation. Au total, 17 chevaux et poneys y mènent paisiblement leur vie. À notre arrivée, nous sommes accueillis par la douce et chaleureuse propriétaire de l’établissement, Mireille Bersia. Elle s’occupe de tout ce qui touche à la logistique. En pleine préparation de la seconde édition de l’événement
« Equitana » qui aura lieu les 12 et 13 avril prochains, Mireille présente sa collègue monitrice, Sandy. La jeune femme prépare le plan pour le parcours en terrain varié (PTV). C’est-à-dire, les différentes difficultés qu’on peut rencontrer quand on est à l’extérieur avec un cheval : passage de fossé, passerelle, slalom, bordures, etc. que l’on regroupe sur un seul terrain pour tester les compétences des cavaliers et des chevaux.
« Equitana est un événement qui permet la rencontre de toutes les personnes travaillant dans l’équitation à Madagascar », explique Mireille.
« On essaye de faire découvrir des disciplines que les gens n’ont pas l’habitude de voir ici. En d’autres termes, il s’agit de montrer le côté ludique et sympathique ayant trait aux chevaux. C’est vrai que d’habitude, on organise des concours d’obstacles, alors on s’efforce de changer un peu et de faire de nouvelles choses », poursuit-elle.
À la différence des autres clubs de la capitale, aucun restaurant, terrain de tennis, ou piscine sur le site : Amajo n’est vraiment axé que sur l’équitation. Sans doute, c’est un meilleur moyen pour accueillir les 110 petits cavaliers qui apprennent la discipline, cette année. Le public principal est formé d’enfants. Même si quelques adultes sont inscrits, les petits bouts-de-choux, à partir de 4 ans, sont les bienvenus au centre.
Mais il y a Sandy, la monitrice. Elle s’occupe de tous les cours, de la pédagogie, du programme pour l’apprentissage des élèves. Une personne l’assiste pour s’occuper des tout-petits.
Il y a aussi les palefreniers qui s’occupent de nettoyer les boxes, de nourrir les chevaux, de veiller à ce qu’ils aient de l’eau à boire, de les emmener au pré, de les ramener dans le centre, de les brosser, etc. Pierre-Jérôme est l’un d’entre eux. Sous une chaleur accablante, tuyau d’arrosage en main, il nettoie un magnifique cheval. Aucune crainte n’apparaît sur le visage du palefrenier. Il a l’assurance d’un professionnel. L’équitation, c’est son dada. L’homme travaille dans le milieu de père en fils.

http://www.lexpressmada.com/blog/magazine/clube-equestre-amajo-le-paradis-de-lequitation-a-tana-8491
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jeudi 6 mars 2014

Popat Maueze croit en la reprise du secteur tourisme



Évoluer, innover, investir constamment- davantage en temps de crise- : telle est la philosophie de Popat Maueze, PDG du groupe Victory. Et pour cause, il croit dur comme fer à la relance du secteur tourisme à partir de cette année.

Quelle est votre position par rapport aux infrastructures hôtelières qui existent à Toliara  ?
Écoutez ! Actuellement, je peux dire que le groupe Victory est en position dominante sur Toliara avec 100 chambres dans ses deux hôtels. Le Victory Hôtel  ouvert en 2005 comporte 56 chambres et se situe à l’entrée de la ville. Le second en forme de paquebot, l’Amazone Hôtel, avec ses 44 chambres, se situe sur le front de mer à Toliara-centre.  Au niveau des services, nous les avons presque tous, à savoir spa, salles de sports, piscines, etc. Nous le faisons pour montrer à notre clientèle ce que nous sommes réellement aujourd’hui et ce que nous voulons devenir demain. Comme vous le constatez, nous ne lésinons pas sur les moyens pour le développement de nos hôtels.

Quel est le profil de votre clientèle  ?
Elle se répartit à égalité entre touristes et hommes d’affaires. Nous avons deux clientèles différentes pour nos deux établissements. Au Victory, nous avons quasiment 75% de touristes étrangers et locaux et 25% qui viennent pour le travail ; à l’Amazone, et c’est l’inverse. Toutefois, dans un marché très étroit comme Madagascar, il faut aller chercher la clientèle là où elle est.

Même durant la crise, vous n’avez pas cessé d’investir dans votre domaine, qu’est-ce qui vous a motivé à construire davantage alors que le secteur est paralysé  ?
Toliara, c’est d’abord ma ville natale. Donc je suis là pour améliorer mon travail, mais penser aussi à la ville en l’embellissant. C’est pour cela que nous avons fait un effort particulier pour réaliser l’hôtel Amazone qui est néanmoins une infrastructure extravagante, avec l’appui de nos banques qui ne nous ont pas lâchés. C’est bien vrai que ces investissements ont été réalisés en pleine crise, mais s’il faut investir, il faut se positionner dés maintenant. Car si nous attendons que les marchés se développent sans construire d’hôtels, nous sommes battus d’avance et il ne faut pas attendre la fin de la crise pour le faire. D’autant plus que moi, je crois dur comme fer en l’avenir du tourisme sur Toliara, car notre région est sublime et nous possédons des plantes et des animaux endémiques. Je crois que les touristes reviendront en masse pour les découvrir.

Vous êtes si déterminé au point qu’on en oublie les problèmes que vous rencontrez.
Chaque propriétaire d’un grand hôtel comme le nôtre a des problèmes à affronter. Je ne les fuis pas, mais je les gère. Nous devons constamment nous poser ces questions et trouver des solutions. Si d’aventure, il y a un besoin de financement, nous pouvons recourir à nos banques. Nous gérons bien, nous arrivons à dégager des bénéfices. Nous payons nos fournisseurs et nos employés. Je ne dis pas que c’est très facile, nous ne faisons pas de grosses marges, mais au moins nous arrivons à équilibrer notre exploitation.

Avec votre expérience d’une décennie, quel est le regard que vous portez aujourd’hui sur le développement touristique malgache  ?
Comme toute activité économique, notre secteur connaît aussi des hauts et des bas, mais je pense qu’actuellement force est de constater que malgré la crise, le développement saute aux yeux et il y a une volonté politique de la part de l’État de tirer vers le haut le secteur tourisme. Cela nous redonne confiance.

N’est-ce pas la cherté de la destination qui plombe l’envol du secteur  ?
Certains pensent que nous sommes dans une destination qui est chère. Mais il y a des destinations beaucoup plus chères que la nôtre, et d’autres qui le sont beaucoup moins que nous et qui se sont plantées. En fait, il faut une politique touristique globale qui ne voit pas du court terme, mais s’étale sur le long terme pour un tourisme sain, durable et profitable aux populations et aux investisseurs. Je crois que l’ONTM, avec le concours d’Air Madagascar et de l’État, est en train de voir et de trouver la solution à ce problème et nous avons confiance en eux.

Que faut-il ajouter sur l’avenir du tourisme pour terminer cette interview  ?
Je crois que cet avenir est brillant, à condition de revoir et de solutionner quelques problèmes et que le produit malgache ait un contenu solide. Il n’y a aucune raison d’être alarmiste : nous avons un beau produit, nous avons des gens qui savent travailler et je ne vois aucune raison pour que le tourisme malgache ne fonctionne pas. Il y a des étapes, des obstacles à franchir, mais les produits sont là. Il faut arrêter de crier que tout va mal et de jeter la pierre au tourisme malgache : il a toutes les qualités pour réussir et, plus important, nous avons les femmes et les hommes pour le faire. Il faut fédérer les forces et la puissance de Madagascar et surtout, nous avons actuellement un nouveau président de la République qui mise beaucoup sur notre secteur.
Propos recueillis par Francis Ramanantsoa

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http://www.lexpressmada.com/blog/actualites/popat maueze croit en la reprise du secteur tourisme-6383

dimanche 23 février 2014