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Dilann Mamodaly
Dilann Tours Madagascar
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mardi 10 juin 2014

le festival «Angaredona» - DILANN TOURS MADAGASCAR

Depuisquelqueséditions,lefestival«Angaredona»aconnuunessoufflementauniveaudesamissionpremière.Desjeunesdel’universitéd’Antananarivoontprislesrêneshier.

«Angaredona » a à peine plus de dix ans d’âge, voilà qu’une équipe de jeunes reprend le flambeau. L’association des médiateurs culturels ou Admc se trouve depuis hier au gouvernail de ce festival des musiques vivantes. Rajery, fondateur et actuel co-dirigeant du festival des musiques vivantes, porte des mots de conviction.
« C’est un choix. Nous travaillons ensemble depuis plus de trois ans, c’est le meilleur choix. Ce ne sont pas seulement des exécutants ». Il ne reste qu’à espérer qu’il joigne la parole à l’acte. Avec lui, c’est le tout neuf Arnaud Ratafika qui co-dirige Angaredona. La passation s’est déroulée hier matin dans les enceintes de la faculté des Lettres et Sciences Humaines de l’université d’Antananarivo. Sous le regard, entre autres, du président de l’Université Panja Armand Ramanoelina. Présent aux côtés de Prosper Ralaiarimanana, membre fondateur de Solika, Jaojoby Eusèbe, le pacha du salegy et d’autres personnalités. À travers ses propos se lit une fierté non feinte chez Panja Armand Ramanoelina.
« Nous allons voir comment apporter notre contribution pour la prochaine édition », assure t-il. Le bateau
« Angaredona » semble avoir pris le bon vent avec la venue de l’Admc, jeunes diplômés issus du parcours en Médiation et Management Culturel du département d’étude française et francophone de la Faculté des Lettres et Sciences humaines.
Confiance affichée
Membre du conseil d’administration d’Angaredona et responsable du parcours médiation et management culturels, Serge Henri Rodin, est aux anges. « L’université fait tous les efforts pour offrir à la société des diplômés efficaces, et appuyer par la recherche le développement de la nation. La cérémonie d’aujourd’hui est hautement symbolique, car le parcours est présent sur ces deux axes ».
Un exemple concret de ce qui peut se faire ailleurs, et qui a pu se faire à Madagascar. La confiance entre le secteur culturel, parfois perdu dans un manque de professionnalisme, et des universitaires prêts pour les défis. Pour en revenir au festival, c’est aussi l’occasion pour lui de se débarrasser de quelques ombres à son tableau. Les dernières éditions ont vu l’esprit du festival se déglinguer. « Éblouir » les partenaires, le public…, dans le sens noble du terme, c’est le maître mot d’Arnaud Ratafika, le co-directeur d’Angaredona. Tsiaro Andriamahery, président de l’association des médiateurs culturels tente de revenir sur terre. « Il est encore très difficile de vivre de culture ici, c’est une réalité. Il n’y a rien de clair, presque rien n’est mis en place. Ce sera difficile d’être toujours présent et de réaliser les projets. Mais on va le faire ».
Maminirina Rado
Photo : http://www.lexpressmada.com/blog/actualites/festival-angaredona-retente-le-coup-12043 http://www.dilanntours-madagascar.com/ Depuisquelqueséditions,lefestival«Angaredona»aconnuunessoufflementauniveaudesamissionpremière.Desjeunesdel’universitéd’Antananarivoontprislesrêneshier. «Angaredona » a à peine plus de dix ans d’âge, voilà qu’une équipe de jeunes reprend le flambeau. L’association des médiateurs culturels ou Admc se trouve depuis hier au gouvernail de ce festival des musiques vivantes. Rajery, fondateur et actuel co-dirigeant du festival des musiques vivantes, porte des mots de conviction. « C’est un choix. Nous travaillons ensemble depuis plus de trois ans, c’est le meilleur choix. Ce ne sont pas seulement des exécutants ». Il ne reste qu’à espérer qu’il joigne la parole à l’acte. Avec lui, c’est le tout neuf Arnaud Ratafika qui co-dirige Angaredona. La passation s’est déroulée hier matin dans les enceintes de la faculté des Lettres et Sciences Humaines de l’université d’Antananarivo. Sous le regard, entre autres, du président de l’Université Panja Armand Ramanoelina. Présent aux côtés de Prosper Ralaiarimanana, membre fondateur de Solika, Jaojoby Eusèbe, le pacha du salegy et d’autres personnalités. À travers ses propos se lit une fierté non feinte chez Panja Armand Ramanoelina. « Nous allons voir comment apporter notre contribution pour la prochaine édition », assure t-il. Le bateau « Angaredona » semble avoir pris le bon vent avec la venue de l’Admc, jeunes diplômés issus du parcours en Médiation et Management Culturel du département d’étude française et francophone de la Faculté des Lettres et Sciences humaines. Confiance affichée Membre du conseil d’administration d’Angaredona et responsable du parcours médiation et management culturels, Serge Henri Rodin, est aux anges. « L’université fait tous les efforts pour offrir à la société des diplômés efficaces, et appuyer par la recherche le développement de la nation. La cérémonie d’aujourd’hui est hautement symbolique, car le parcours est présent sur ces deux axes ». Un exemple concret de ce qui peut se faire ailleurs, et qui a pu se faire à Madagascar. La confiance entre le secteur culturel, parfois perdu dans un manque de professionnalisme, et des universitaires prêts pour les défis. Pour en revenir au festival, c’est aussi l’occasion pour lui de se débarrasser de quelques ombres à son tableau. Les dernières éditions ont vu l’esprit du festival se déglinguer. « Éblouir » les partenaires, le public…, dans le sens noble du terme, c’est le maître mot d’Arnaud Ratafika, le co-directeur d’Angaredona. Tsiaro Andriamahery, président de l’association des médiateurs culturels tente de revenir sur terre. « Il est encore très difficile de vivre de culture ici, c’est une réalité. Il n’y a rien de clair, presque rien n’est mis en place. Ce sera difficile d’être toujours présent et de réaliser les projets. Mais on va le faire ». Maminirina Rado

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